Superbe Suiban ancien rare en bronze Seimin ju Japon Ère Bunsei

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Superbe Suiban ancien jardinière extrêmement rare en bronze patiné marquée Seimin – Japon – Ère Bunsei – Début XIXe – Art japonais – 44 x 25 x 11 cm – 7 kg

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Superbe Suiban ancien jardinière extrêmement rare en bronze patiné marquée Seimin ju – Japon – Ère Bunsei – Début XIXe – Art japonais

Superbe Suiban ancien 水盤 jardinière extrêmement rare en bronze patiné marquée « Dai Nippon Bunsei nen Seimin ju » 大日本文政年整珉鋳 – Antiquité japonaise – Bronze de collection – Ère Bunsei

Bronze très rare supporté par quatre pieds, quatre personnages sculptés, motifs Edokko.

Edokko

Edokko (littéralement « enfant d’Edo») désigne une personne née et ayant grandi à Edo (renommé Tokyo en 1868).

Le terme aurait été inventé à la fin du XVIIIe siècle à Edo.

Être un edokko laisse également entendre que la personne possède certains traits de personnalité différents de la population non autochtone, comme l’affirmation de soi, la simplicité, la gaité, peut-être un peu mercantile.

Suiban

Le suiban 水盤 est un récipient peu profond pour bonsaï, suiseki, ou ikebana.

Il porte la marque « Dai Nippon Bunsei nen Seimin ju 大日本文政年整珉鋳 » (Grand Japon, ère Bunsei, fabriqué par Seimin)

Des bas-reliefs sur le côté représentent un dragon, un phénix, une tortue et un lion.

Les jambes du suiban sont basées sur le motif des enfants d’Edo, à l’ attitude très expressive, sculptés comme s’ils portaient le bassin.

Les poignées de part et d’autre de la jardinière représentent des têtes de dragon tirant la langue.

Les motifs complexes et patterns sur chaque surface montrent un haut niveau artistique.

Murata Seimin (1781-1837)

Murata Seimin est née à Edo à la fin de la période Edo et a vécu à Ryukamachi, Kanda.

Il était également connu sous le pseudonyme de Sojiro et le pseudonyme de Seimin Kitatokusou.

Il a laissé derrière lui une variété d’œuvres, notamment des ornements, des vases, des suiban et des accessoires d’autel bouddhistes.

Parmi ses œuvres remarquables figurent une paire de statues de lion Tang au sanctuaire Shinjuku Hanazono, érigées au cours de la quatrième année de Bunsei (1821), et un ensemble complet d’accessoires d’autel bouddhiste exposés au Musée national.

Seimin s’est spécialisé dans la sculpture de bronze de précision utilisant la méthode de la cire perdue.

Une grande partie de son travail concernait des sujets bouddhistes, comme le moulage de 500 arhats (disciples du Bouddha) au temple Kenchoji à Kamakura.

Ses autres œuvres comprenaient des vases et des ornements, et il était célèbre pour ses études sur les tortues.

Son nom d’origine était Kimura, mais il est devenu connu sous le nom de Murata après s’être marié dans la famille Tamura et avoir combiné les deux noms de famille.

Ses disciples comprenaient Kimura Toun et Kurihara Teijou, entre autres.

En tant que disciple de Tagawa Minetake, il a fondé une famille prospère en tant que maître fondeur, spécialisé dans le moulage de moules en cire.

Après le décès du premier Seimin (né le 13 août 1761, décédé le 24 novembre 1837), ses enfants étaient jeunes, donc Kimura Toun (originaire de la préfecture d’Iwate), son fils adoptif et disciple, devint le deuxième Seimin.

Plus tard, le fils du premier Seimin (Senjiro) devint le troisième Seimin.

Travail impressionnant, dynamique, raffiné et profond, très détaillé, et en excellent bon état de conservation (quelques signes d’usure dus à l’âge, taches et rayures – Voir photos).

Les sculptures ne présentent aucun dommage, ses quatre pattes ne vacillent pas, et les détails complexes sont nettement visibles : un must have dans toute collection japonaise !

  • Japon
  • Ère Bunsei
  • Début XIXe
  • Fabrication traditionnelle japonaise
  • Bronze marqué
  • Objet culturel de collection rare
  • 44 x 25 x 11 cm
  • Poids : 7 kg

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Poids 7 kg
Dimensions 25 × 44 × 11 cm
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