Grand Wahaika massue maorie en bois dur Nouvelle-Zélande

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Grand Wahaika massue maorie en bois dur à belle patine rouge sombre – Nouvelle-Zélande – Mi XXe – Collection ethnique

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Grand Wahaika massue maorie en bois dur à belle patine rouge sombre – Nouvelle-Zélande – Mi XXe – Collection ethnique

Grand Wahaika massue maorie en bois dur sculpté, large lobe effilé, décoré d’un personnage sur la tranche au-dessus de manche.

Il est différent du Teko Teko traditionnel, porte une coiffe striée, a les arcades prononcées, petits yeux en amande, et large nez triangulaire – il n’a pas de bouche.

Ses membres sont retournés et épousent parfaitement les formes du Wahaika.

Originalement réservée au combat rapproché, cette massue redoutable est sculptée dans un bois dur à belle patine rouge.

La prise est ronde et présente une encoche ; la dragonne est en vieux cuir.

Massue Wahaika

Wahaika se traduit par « bouche du poisson » en langue maorie.

Ce sont des massues courtes généralement faites en bois ou en os de baleine.

Elles étaient utilisées comme arme de jet, ou pour frapper l’ennemi dans des combats rapprochés.

La pointe concave est conçue pour frapper les tempes, le visage et les côtes de l’adversaire.

Ils permettaient de gagner du pouvoir sacré, le Mana.

Ces massues constituaient également un symbole d’autorité fort.

Les wahaikas en bois sont souvent sculptés de motifs complexes.

En plus d’être une arme de combat, les chefs de tribus les brandissaient pendant les cérémonies et les discours, pour que les gens prêtent attention à quelque chose d’important.


Les Maoris

Les Maoris de Nouvelle-Zélande sont des populations polynésiennes autochtones de Nouvelle-Zélande.

Ils s’y seraient installés par vagues successives à partir du VIIIe siècle. 
Ils sont aujourd’hui plus de 850 000, soit environ 17 % de la population néo-zélandaise, auxquels il faut ajouter une diaspora de plus de 140 000 personnes dont une grande majorité vit en Australie.

Dans les légendes et les traditions orales, le mot māori distingue les êtres humains mortels des dieux et des esprits.

Ce mot se retrouve dans les autres langues polynésiennes comme l’hawaïen ou le marquisien (Maoli), le tahitien (Maohi) et le maori des îles Cook, avec un sens identique.

Les premiers visiteurs européens des îles de Nouvelle-Zélande (les « Pakehas » arrivés au XVIIIe siècle) ont désigné le peuple qu’ils y ont trouvé par des termes variés comme « indiens », « aborigènes », « natifs » ou encore « Néo-Zélandais ».

C’est au contact de ces étrangers que ces populations ont commencé à se désigner d’abord sous le terme de tangata māori (« homme ordinaire, autochtone »), pour finalement ne garder que māori.

Traces d’usage et belle patine sombre.

  • Massue de collection Māori
  • Nouvelle-Zélande
  • Art Māori
  • Mi XXe
  • 18 x 4 x 51 cm
  • Poids : 0.938 kg

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Poids 0,938 kg
Dimensions 4 × 18 × 51 cm
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